A table !

Sur Iphone et Androïd passez en mode horizontal.


C’est plutôt cocasse pour un type qui déclare avoir cessé de boire de se voir récompenser d’une Bouteille d’Or… C’est ce qui arrive à Stéphane Reynaud, patron depuis trois ans de Oui Mon Général – jeu de mot en référence à la…

C’est un Galopin qui agite papilles et neurones. Dans ce petit troquet d’angle à l’apparence de « bistronomique » de quartier chaleureux et intime, Julien Simonnet déploie sans agitation ni tralala, un art culinaire singulier fortement influencé par le Japon. A 28…

Avant d’attaquer l’ascension vers le Sacré-Cœur par la piste Lepic, cette Mascotte pourrait faire figure de camp de base. Celui où l’on se requinque tellement bien parfois que l’idée de gravir la butte peut s’évanouir tout naturellement… La Mascotte est en effet…

Neuf tables dressées dans un endroit un peu baroque boisé et chiné années trente, tirant vers le mauve, avec des lustres Art-deco et le soir, une lumière de chandelle à la Barry Lindon. Mais rien de crépusculaire… L’ancien restaurant du chef Jean-Luc…

Il y a bien des analogies entre Shinjuku et Pigalle, quartiers chauds et animés de Tokyo et Paris. L’association de ces deux noms vise à la synthèse utopique d’un bistrot parisien et d’une cuisine japonaise populaire. Au final, c’est assez réussi. Côté…

Hébé. Mais non ce n‘est pas l’exclamation populaire. Plutôt l’invocation à la fille de Zeus et d’Héra, déesse personnifiant la jeunesse assurant la charge d’échansonne en servant des nectars aux dieux. De bon augure… Michel Portos, le chef marseillais deux fois étoilés,…

C’est une chapelle très fréquentée par les fidèles de Bacchus. Presque un anachronisme charmant évoquant au choix un retour aux sources du bougnat parisien où l’on venait acheter son vin à la tireuse ou une incarnation de ces « bistrots à vin » très…

Cet Express Bar, vénérable bistrot d’angle du quartier des Halles, n’a pas forcément le nom le plus approprié si l’on veut sentir son ambiance de troquet populaire de quartier. Mieux vaut s’y poser et prendre le temps de vivre en y sirotant…

C’est une affaire fameuse de la grouillante rue Montorgueil. Son année de naissance, 1904, s’affiche fièrement sur la devanture. Encore que son nom de « Grille » semble renvoyer au statut de marchand de vin de l’Ancien régime. En 1729, un édit de Louis…