Pierre Négrevergne n’a pas laissé tomber ses marmites. Il sait bien que c’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleurs soupes … Et pas seulement. Dans son Auberge Pyrénées-Cévennes, il continue à mitonner la blanquette de veau à l’ancienne ou la tête de veau ravigote sans oublier le cassoulet fétiche de la maison (26,90 €).


On peut les commander et les retirer ou se les faire expédier. Comme le bonhomme a plus que des fidèles -carrément des adeptes- ces derniers lui commandent de la France entière. A l’entendre, le Covid n’a fait qu’accélérer le murissement d’un projet déjà initié.
« J’envisageais une telle évolution depuis longtemps et j’avais déjà travaillé sur la possibilité de mettre mes plats en bocaux. On a levé le pied sur cette technique. Pour l’instant, je préfère les mettre sous-vide. C’est plus pratique, il suffit ensuite juste de les faire réchauffer à feu doux.»
Il expédie même en province chaque semaine par Chronofresh chez des clients qui confinent à la campagne.
Il se dit surpris par le nombre de bouteilles vendues prix cavistes. «J’essaye de proposer des vins que l’on ne trouve pas ailleurs.»
Sa carte des vins sur internet a beau être ramassée, il y en a pour tous les goûts et toutes les bourses. Cela va du Château Angélus 2016 (538€) à la cuvée Côtes du Rhône des Maîtres Restaurateurs (17€) réalisée par Dominique Loiseau, Sébastien Bras, et Régis Marcon…Pas des manchots question papilles…
https://www.auberge-pyrenees-cevennes.fr
106 rue de la Folie Méricourt – 75011 Paris