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A table ! Comment choisir un bon bistrot à Paris où la cuisine est faite maison. Choisir un bon établissement avec un chef et patron en procédant par quartier ou par spécialités.

Ce Bougainville est l’un des deux bistrots qui joue la vigie aux entrées de la Galerie Vivienne. Celui-ci est un peu plus populaire que son alter ego donnant rue des Petits Champs, le Bistrot Vivienne. Le formica du comptoir n’est pas là…

Aux Lyonnais : Nichons de Grésy et Pot de la cuisinière… Sa devanture rouge lie de vin met déjà l’eau à la bouche. On sent bien qu’on est face à une ambassade de Lyon et qu’il ne va pas falloir chipoter… La…

On s’y sent vite bien dans ce Mesturet. La raison est évidente. Un patron joyeux et affairé avec une bouille à la Dutronc qui adore son endroit. Pas étonnant que les représentants des vins de bistrots, tels qu’ardèche ou saint-pourçain, choisissent son…

A deux pas de la Bourse et de la Place des Victoires, Mémère Paulette fait partie des ces bistrots – en voie de raréfaction- aussi truculents que rabelaisiens. Le genre vieil estaminet patiné, avec assiettes de porcelaine au mur, saucisses fumées pendant…

Cela fait belle lurette que les cloches, chevillards et autres marchandes des Quatre Saisons faisant des extras dès potron-minet ont délaissé ses banquettes. Et pourtant, Au Pied de Cochon affiche gaillardement ses 65 ans d’existence. L’affaire créée par Clément Blanc en 1946,…

Ce Loup de la rue du Louvre a belle allure. Visiblement, il ne se contente pas de chair fraîche même si la Limousine est au programme mais pas trop grasse (garanti 5% de matière grasse) sous forme de tartare ou de burger version XL avec 180g, accompagné…

Parler d’une valeur sûre à propos de la Tour de Montlhéry n’est pas faire abus de langage. Voilà une affaire centenaire, tenue par la même patronne depuis quarante ans et dont les chefs –de nuit comme de jour- tout comme certains de leurs…

Le chien qui fume … la pipe. En ces temps d’interdiction, une adresse qui redonne le moral, une adresse point fumeuse. Dernier témoignage de ce qu’étaient les bonnes tables quand les Halles n’étaient point un trou. On s’attend à voir entrer d’un…

Un sado-maso provincial en quête de sensations fortes aura du mal à trouver son plaisir en poussant la porte d’un Père Fouettard… En revanche, l’amateur de bistrot bonne chère ne sera pas déçu. La reprise en 2007 par Olivier Flottes, patron de…

Au Père Tranquille, une institution du premier arrondissement, porte son nom comme un euphémisme dans ce quartier qui a toujours été agité. Avant 1969 , année du déménagement des halles à Rungis, il connaissait chaque nuit la frénésie des pavillons Baltard aves…

C’est une affaire pour tailler la bavette ou discuter le bout de gras sans chichi. Il faut de la voix, de l’assise et un bon avant-bras pour tenir son couteau. Encore qu’on ne risque pas de manger de la semelle … car…

C’est un pivot dans le quartier. Un bistrot connu pour sa cloche. Fixée à la façade elle sonnait les débuts et fin du marché des Halles, avant son déménagement à Rungis… Pour la petite histoire c’est au son de la cloche que…